Après plus de 3 500 kilomètres, Dolorès n’était tout simplement plus présentable ! Dans sa face, une beurrée de mouches qui ont violemment rendu l’âme. Un seul mot vous vient à l’esprit… eurke!
Elle mérite mieux que ça, ma Dolorès. Je lui dois tout,
quand on y pense : elle m’amène là où je veux, elle m’abrite et, par
surcroît, elle n’en séduit plus d’un grâce à son intérieur joliment aménagé.
Pour vous dire, elle a même passé à la télévision!
Je lui ai donc fait moi-même sa toilette. Intérieur,
extérieur, rien de trop beau! Elle a retrouvé son teint de lait, la voilà
redevenue toute belle, toute coquette… Et elle se sent beaucoup mieux dans sa tôle! Toujours
bon pour l’estime de soi...
Plus nous roulons ensemble, plus nous devenons de véritables
complices, Dolorès et moi. Et Lucien (mon castor) se dit très heureux de vivre
avec nous. Rare ménage à trois qui se vit sans heurts…
Guy
PS : pourquoi le nom « Dolorès »? Voyez la section «
Bienvenue à bord ».
Cela me rappelle l'intérêt que toi, Serge et Richard aviez pour les automobiles.
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